"C'est pas la peine qu'on se prête, les uns et les autres, à des émissions ou à des polémiques qui tirent tout vers le bas, qui avilissent tout, qui ne respectent rien et qui conduisent finalement à donner une piètre image d'une démocratie qui a besoin de femmes et d'hommes comme vous", a lancé M. Sarkozy aux élus en concluant son discours.
"Je veux dire à tous ceux qui nous regardent, y compris le système médiatique: respectez donc ceux qui ont le courage de se présenter devant le suffrage universel", a-t-il ajouté sous des applaudissements nourris.
"C'est tellement facile de faire de l'amertume assis sur sa chaise et de regarder les autres se débattre (...) je n'aime pas beaucoup l'évolution des choses qui fait que c'est toujours ceux qui s'engagent le plus qui sont le plus dénoncés, le plus attaqués, le moins respectés", a dit le chef de l'Etat faisant allusion à son rival Dominique de Villepin, jamais élu.
Commentaires:
Vous vous rendez compte j'en avais les larmes aux yeux, le petit Nicolas m'a profondément ému 
- Cet homme est gonflé ou alors il est inconscient je crois les deux et bien d'autres adjectifs que je ne me risquerait à écrire ici car par les temps qui courent en lisant ce papier je me dis que ce type est capable de tout.
Quelques consolations tout de même dont cette phrase: "C'est tellement facile de faire de l'amertume et de regarder les autres se débattre" Moi je me marre de le voir se débattre, plus ça va plus il s'agite machin.
Puis: " c'est toujours ceux qui s'engagent qui sont le plus dénoncés, le plus attaqués, le moins respectés": Moi je dirais charité bien ordonnée commence pasr soi même. Il devrait avant tout se demander ce qu'il respecte LUI , il devrait demander aux trois millions de mécontents qui on fait grève et manifesté le respect qu'il a eu envers eux il les a totalement ignorés. Comment ose t-il prononcer de tels discours,il ne sait plus quoi dire!! il sent qu'il va falloir qu'il accouche sur toutes ces casseroles rouillées, ou alors d'autres vont le faire à sa place.JG.
Putain , la Pintade ! je plains son homme. Quelle violence dans le regard j'aurais une bonne femme comme ça je me taille au Nicaragua pour plus la voir, ça fait peur, comment peut-on supporter une engence pareille. JG. 
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