Voilà une publicité dont se serait bien passé David Douillet - l'ex-double champion olympique de judo qui vient de s'engager en politique -, qui se retrouve dans le collimateur de Guy Poirier, le maire PS de Meulan, la commune des Yvelines où le champion et sa femme Valérie se sont installés il y a une dizaine d'années. Lire la suite l'article
Le conflit évoqué dans les pages du Parisien d'aujourd'hui : Les chiens du champion ! En effet, les molosses de David errent apparemment dans les rues de la commune et terrorisent les habitants du quartier.
L'élu socialiste lâche ainsi : "C'est scandaleux. Une responsable du service d'urbanisme a déjà été attaquée par ces chiens. (David Douillet) habite juste à côté d'une école. J'ai des parents d'élèves qui se plaignent et qui ont peur".
Le problème est tellement présent dans la petite commune que la municipalité a déjà déposé deux mains courantes, et le maire en personne vient d'adresser une lettre au champion : "Je ne comprends pas qu'on puisse avoir des responsabilités pareilles et être inconscient à ce point-là".
Commentaires:je ne comprends toujours pas pourquoi des officines vendent ce type de chien et pourquoi cela est autorisé. Et ce que je comprends encore moins que des m'as tu vu comme Monsieur Douillet parce qu'ils ont une maison et quelques bricoles dedans se croient inviolables parce qu'ils possèdent des chiens dangereux. Par contre depuis quelques temps il y a eu suffisamment d'accidents graves avec ces fauves qui un jour ou l'autre s'échappent et s'attaquent à des enfants, pour que des gens un peu intelligents réfléchissent bien avant d'en acheter. Tant qu'ils ne tuent qu'un chat , qui habituellement est assez rusé pour se sauver, mais compte tenu d'une école à proximité, je suis d'accord avec le maire qui a dénoncé cette affaire. Déjà moi Douillet, avec Bernadette et les pièces jaunes, qui s'était fait piquer en excès de vitesse avec une Porche louée au compte de l'association, avait nettement baissé dans mon estime, et cette affaire ne va pas la faire remonter. JG.